Le Net au secours des demandeurs d’emploi

Depuis le début de ce blog consacré à l’emploi, les données n’ont  pas été suffisamment généreuses pour permettre une  ambiance réconfortante. Le domaine de l’emploi demeure en double état de crise chez nous et au niveau international ; les réponses sont partout insuffisantes. Doit-on se plier à cette fatalité ? Certes non,  partout existe heureusement une certaine détermination  qui défie cette donnée globale y compris au Maroc.

La société de la surinformation

Entre Snowden et la CIA, le sniper de Targuist et la gendarmerie royale, le militant révélateur de Danielgate et la garde rapprochée du roi, l’humoriste Bassem Youssef et le général Abdelfattah Sissi en Egypte, un ordre ancien vacille. Qui surveille qui, aujourd’hui ? Qui a le pouvoir de déstabiliser qui, le citoyen fortement connecté ou les institutions partiellement déconnectées ? Qu’est-ce qui pèse plus lourd dans la balance, la puissance spectaculaire des autorités en place ou la puissance virale d’individus hyperinformés ?

Crowdfunding ou love money ?

Le financement participatif (crowdfunding ou financement par la foule) prend de l’ampleur, les plateformes en ligne se multiplient et les états tentent de réguler ce nouvel acteur de la chaîne du financement. Si l’on écoute Joachim Dupont, le PDG de Anaxago, une plateforme française, le financement participatif en fonds propres se positionne « dans la vallée de la mort du financement ».

E-baiser révélateur

Repassons ensemble le film de cette affaire du e-baiser qui a valu au Maroc les honneurs du Petit journal de Canal+. Deux jeunes collégiens de Nador s’embrassent, Facebook les expose, une sombre association porte plainte, la police les arrête, le procureur les poursuit pour atteinte aux bonnes mœurs, les réactions s’enchaînent en ligne, les amoureux des baisers menacent d’inonder les places publiques, puis les deux jeunes adolescents sont relaxés sans que la poursuite soit abandonnée. De cet épisode, trois leçons me semblent nécessaires à retenir.

De la métis à l’intelligence d’entreprise

Dans la pensée grecque archaïque, l’intelligence se manifeste à travers une mise à l’épreuve où se livre un combat contre le réel. Elle prend une forme bien particulière, celle de la métis, à la fois multiple et polymorphe.

L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare !

En commentant sur RTL les déclarations de la journée de réflexion sur l’avenir de la France en 2025  Jacques Attali a lancé  deux idées précieuses à propos du plein emploi, la première est que le celui-ci  pourrait être atteint en France à condition que l’on « prenne en compte, dans toutes les décisions que l’on prend aujourd’hui, leur impact sur l’emploi dans 25 ans ».

Trois erreurs à ne pas commettre dans la recherche qualitative

Depuis que je batifole gaiement dans le monde de la recherche en sciences de gestion, j’ai pris connaissance d’un certain nombre d’éléments dont je souhaiterais, sans prétention aucune, partager certains avec nos chers lecteurs. Plus précisément, lorsqu’un chercheur habitué aux méthodes quantitatives ambitionne de mener un projet de recherche selon une approche qualitative, certains réflexes inhérents à son passé « numérique » pourraient parfois le trahir. Voici donc trois erreurs à éviter selon moi dans la recherche qualitative en sciences de gestion.

L’appel à la lecture : l’autre révolution

Le philosophe allemand, Hegel, adorait lire le journal au petit déjeuner. Il disait que c’était « la prière du matin de l’homme moderne ». L’écrivain français, Marcel Proust, fait l’éloge de la lecture de livres qui nous permettent de « recevoir communication d’une autre pensée, tout en restant seul ». René Descartes assimile, pour sa part, la lecture des « bons livres » à « une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs ».

Sommes nous compétitifs?

Alors que le Maroc perd 7 places dans le classement mondial publié en début de mois par le World Economic Forum, pour se placer au 77ème rang (sur 148 pays étudiés), on peut s’interroger sur la capacité des entreprises familiales du Royaume à améliorer à l’avenir ce score.

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