Nouveaux médias, nouvelle culture...
Facebook a lancé récemment une application appelée « Paper » destinée à la lecture des contenus écrits sur le mobile. Le New York Times a créé le "New York Times Now", une version allégée de l’actualité, toujours sur les appareils mobiles, à destination des jeunes. Début juin, ce même quotidien a lancé le New York Times Opinion dans lequel on retrouve des éditoriaux et des tribunes. Ces exemples illustrent le fait que tous les types de médias sont à la recherche de la monétisation de leurs contenus. Vendre, puis revendre pour tenter de se développer ou tout simplement de survivre. C’est donc ainsi que, d’un côté, l’environnement concurrentiel débridé et la sélection du marché s’opèrent sur des critères strictement commerciaux et, de l’autre, les intervenants réels sont souvent des rentiers du pétrole, de la spéculation financière, ou de la politique. Qu’en est-il du produit et de sa qualité dans ces conditions ? Face à des médias qui se transforment de manière vertigineuse...