Le blog de la plateforme Economia est un blog collaboratif à trois étages. Il regroupe des blogs de chercheurs permanents et associés de Economia, HEM Research Center, ceux de personnes, invitées pour leurs compétences en management, économie et sciences sociales, et enfin , ceux d’étudiants de HEM et jeunes chercheurs, dits «  Economia members », sélectionnés à cet effet. Les blogs sont conçus comme un prolongement de la recherche par l’opinion, l’analyse, la réflexion ou le simple carnet de bord qui accompagne le chercheur sur son terrain. Ce sont également des espaces vivants permettant de rebondir sur l’actualité et l’évolution des savoirs.

 

 

 

Enfin une stratégie pour l’emploi !

Tout au début de cet été que nous venons de quitter, Mr Seddiki, ministre de l’Emploi a évoqué un sujet d’extrême importance, lequel est passé inaperçu ou presque auprès des médias. Il faut dire que l’agenda national a été depuis le mois de mai 2015 quasiment burlesque ; examens, Ramadan, fêtes traditionnelles, vacances annuelles, élections, rentrées de tout ordre ….

Origines et évolutions du travail

Ce billet s’inscrit dans le cadre d’un projet de recherche sur le sens et la valeur que l’on accorde au travail dans le contexte marocain. Ce qui suit fait l’objet d’une brève synthèse sur l’évolution de la notion de travail dans le monde, avec une mise en lumière d’éléments problématiques actuels à l’aune du thème des modes de production nouveaux dans les entreprises.

Un pastis sinon rien !

L’année 2015 est un tournant pour la famille Ricard, le passage à la troisième génération de dirigeants familiaux. En effet, le 11 février 2015, Alexandre, le petit-fils de Paul Ricard le fondateur, devient président général du groupe, co-leader mondial du marché des vins et spiritueux. A l’annonce des résultats du groupe au 30 juin 2015, la France n’est plus que le quatrième marché du group, derrière les Etats-Unis, loin devant, la Chine et le nouvel entrant du groupe de tête, l’Inde.

Dépassons le smig démocratique

Le lendemain de l’élection à main levée des présidents des douze régions issues du nouveau découpage territorial du Maroc, je suis monté dans un taxi. Le chauffeur, excédé, me fit part tout de suite de sa désillusion : « Mais à quoi sert le vote ? A quoi servent ces élections ? ». Derrière cette colère spontanée, le sentiment que, par leurs alliances, tractations, tactiques et calculs à géométrie variable, les élites partisanes ne représentent plus que leurs intérêts, non la volonté du simple électeur.