Evoquer le 8 mars les femmes entrepreneurs est un classique ! Pourtant aujourd’hui j’ai eu envie de zoomer sur deux publications récentes. La première, sur la difficulté des jeunes femmes, qui sont propulsées à la tête de l’entreprise familiale dans des secteurs d’activité très masculins (transport, industrie lourde..)

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http://bit.ly/2n0JPUb [5]

On retrouve parfois ces mêmes histoires au Maroc dans nos entreprises familiales.

La deuxième, le travail de cette doctorante sur l’impact de l’accompagnement des femmes entrepreneurs pour insuffler une dynamique nouvelle et à terme créer plus de valeur et de croissance. 

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Ce thème de recherche m’est cher et est au premier rang de ma feuille de route. Car l’implication des femmes dans l’entrepreneuriat reste encore trop discrète dans le Royaume à une période où le taux d’activité des femmes marocaines ne cesse de baisser (27% aujourd’hui contre 58% pour le continent africain). Et si 40% des auto-entrepreneurs sont des femmes, c’est souvent une solution refuge qui se heurte à des difficultés énormes de croissance et de pérennité (Etude Mc Kinsey, « Women Matter Africa »).